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11 Φεβ 2009 · Si la France Libre devient la France Combattante dans les actes officiels , le qualificatif de « Français libres » reste admis pour les combattants, les unités, les navires, les réseaux et les territoires qui l’ont acquis.
Pour établir des liaisons avec les résistants, le chef de la France libre crée deux organismes : le Bureau central de renseignement et d'action (BCRA) dirigé par le colonel Passy et le Commissariat national à l'Intérieur (CNI) dont les fonctions sont d'ordre plus politique.
Le 13 juillet 1942, la « France libre » est renommée « France combattante » par le Comité national français pour marquer l'alliance entre la France libre et « des groupements qui à l'intérieur du pays participaient activement à la résistance » [3] et forment la Résistance intérieure française.
Located on the esplanade of the Mémorial de la France combattante, the information centre allows visitors to consulter biographical papers, as well as digitalised letters, photographs, and archive and Ile-de-France documents about those who were shot, using interactive terminals.
À partir du 3 juin 1942 l’autorité du Comité national Français et de son président, le général de Gaulle, est officiellement reconnue par l’ensemble des mouvements de la Résistance intérieure (1). La « France libre » devient la « France combattante » le 13 juillet 1942.
The Mémorial de la France combattante (Memorial to Fighting France) is the most important memorial to French fighters of World War II (1939–1945). It is situated below Fort Mont-Valérien in Suresnes , in the western suburbs of Paris.
Depuis la fin de la guerre environ 320.000 cartes officielles (« Combattants Volontaires de la Résistance », plus rarement « Combattants au titre de la Résistance ») ont été attribuées à des Résistants ou des membres des Forces Françaises Libres.